Testez vos connaissances avec le jeu des 8 questions!

  1. En janvier 1932, des paroissiens de Saint-Germain d’Outremont remettent aux commissaires d’école de Saint-Viateur une pétition en faveur de l’ouverture d’une école élémentaire. Combien de signatures compte ce document?
  2. Ils sont les deux premiers architectes de l’Académie Saint-Germain, en 1936. L’un d’entre eux était le gendre de Joseph Beaubien, maire d’Outremont.
  3. De 1936 à 1950, il occupe un quatre pièces au sous-sol de l’Académie Saint-Germain avec son épouse et ses huit enfants. Ses filles et garçons (Marie-Andrée, Jean, Clément, etc.) ont tour à tour fréquenté l’école.
  4. Premier titulaire du ministère de l’Éducation du Québec, en 1964, il accepte de donner son nom à la nouvelle bibliothèque de l’école. Lors de l’inauguration de celle-ci, en janvier 2014, il nous fait l’honneur de sa présence.
  5. Quelle était la fonction du local derrière cette porte-fermière pendant les deux à trois premières décennies de l’école? Aujourd’hui, il sert de rangement pour le matériel et les produits d’entretien de l’école. (Voir image ci-dessous)
  6. À la tête de l’école Saint-Germain pendant 15 ans, il serait le dernier principal d’école religieux dans la région de Montréal. À sa retraite, en 1979, son successeur est André Sénécal.
  7. Instrument de musique de prédilection dès 1936. On en retrouvait plusieurs à chaque étage de l’école, du côté des filles.
  8. Aux environs de cette date anniversaire, dans les années 30-40, la Reine de mai était couronnée. Ce titre venait récompenser l’élève qui s’était distinguée en catéchèse.

STGO_Porte-fermiere_Infolettre_Aout_2015

Réponses :

1. 128 signatures. 2. Jean-Julien Perrault (1893-1970), époux de Laurette Beaubien, et Joseph-Roméo Gadbois (1890-1960). 3. Richard Albert, le premier gardien et concierge de l’école. 4. Paul Gérin-Lajoie. 5. Magasin d’effets scolaires. 6. Frère Paul-Émile Dalpé, c.s.v. (1917-1999). 7. Le piano. 8. Fête de Saint-Germain, le 28 mai.
(Sources : Centre d’archives de la CSMB, école STGO, Archives des Sœurs des SNJM, et témoignages d’anciennes)